Médecines douces dans le parcours PMA

Les témoignages permettent de garder espoir dans ce chemin difficile vers la maternité. Voici de jolis récits de réussite avec l’aide d’accompagnements en médecines douces pour vous donner le sourire. À lire et relire quand vous le souhaitez pour retrouver la force de vous battre en cas d’échecs. 

Témoignage de Camille : un parcours PMA semé d’embûches et 2 enfants conçus naturellement.

Après 6 mois d’arrêts de pilule, Camille n’a toujours pas ses règles. Elle a 32 ans et décide de ne pas tarder à consulter pour comprendre ce qui se passe. 

On lui diagnostique un SOPK et elle est dirigée en PMA pour tenter d’avoir un bébé. 

3 IAC et 2 FIV plus tard, elle change de centre et découvre une endométriose de stade 4.

Après une cœlioscopie pour elle et l’opération d’une varicocèle pour son mari, elle tombe enceinte naturellement de son 1er enfant.

Quand l’envie d’un 2e se fait sentir, le retour en PMA est difficile. Une FIV qui se solde par une hyperstimulation et 3 jours d’hospitalisation. Suivent 2 transferts négatifs.

Camille le sent au plus profond d’elle-même, son corps et son esprit disent stop !

Elle entreprend alors de se « réparer » de tout ce parcours qui l’a mise à rude épreuve.

Elle consulte un ostéopathe qui travaille sur l’émotionnel et fait des séances d’hypnose. Elle prend conscience que son corps a vraiment subi. Grâce à ce travail sur elle-même, elle se sent prête à reprendre le chemin de la PMA et fait une 3e FIV qui lui donnera 12J5 !

Malheureusement, aucun ne va s’accrocher. Pendant ces protocoles de transfert, Camille consulte successivement plusieurs praticiens :

  •  Une coach spécialisée en infertilité et en endométriose (Endholistic) pour revoir sa façon de manger. Elle fait aussi un travail sur son histoire personnelle et son féminin sacré. Elle apprend à décentraliser la PMA pour se replacer au centre de sa vie.
  • Une praticienne en psychogénéalogie qui oriente son travail sur les mémoires de ses ancêtres notamment en termes de maternité.
  • Une magnétiseuse/énergéticienne qui a tout de suite senti son passif en PMA et ses nombreux blocages émotionnels.

2 semaines après cette dernière consultation et après avoir décidé d’arrêter la PMA, Camille tombe enceinte naturellement de son 2e enfant à presque 40 ans.

« La PMA restera à jamais gravée en moi et aura mis ma vie sur pause pendant quelques années. Elle m’aura permis de me poser des questions et de faire un travail sur moi ».

« Je ne saurai jamais exactement ce que les médecines douces ou parallèles ont pu faire sur ma fertilité. Je sais par contre que je ne remercierai jamais assez l’hypnothérapeute, l’ energéticienne, la psychogénéalogicienne et Bertille d’Endholistic, car sans elles je n’en serais pas là avec mes 2 enfants ! ».

Témoignage d’Aurélie : « Maman de 2 magnifiques enfants grâce à la science et aux médecines douces ».

Après 2 ans d’arrêt de pilule sans grossesse et des examens, le verdict tombe : les résultats du spermogramme laissent très peu de chance à une grossesse naturelle. Ce sera la case PMA et le début d’un parcours du combattant.

Une 1ère FIV et le transfert de 8 embryons, sans succès. Pour les 2 derniers transferts, elle fait des séances d’ostéopathie.

Ils ne lâchent rien et enchaînent sur la FIV 2 qui donnera 4 embryons. C’est à ce moment-là qu’Aurélie entend parler de médecines douces et plus particulièrement d’acupuncture pour augmenter ses chances de réussite. Elle fonce tête baissée ! 

Son 1er transfert frais de 2 embryons lui donnera sa magnifique petite fille ! 

« J’ai fait une séance d’acupuncture en début de cycle, une séance d’ostéopathie après la ponction et juste avant le transfert. J’ai suivi un régime alimentaire (jus ananas, jus de raisin, fruits à coque, poisson) et j’ai aussi effectué des massages à l’huile de ricin sur les ovaires au moment de la stimulation pour avoir à priori de meilleures cellules ».

Pour son 2e enfant, Aurélie change de centre PMA suite à une mutation et décide de continuer avec les médecines douces : 

Une 1ère FIV avec à nouveau 4 embryons. Le 1er transfert est un échec.

« Le mois suivant on enchaîne sur le TEC 2 sur cycle naturel et là je mets toutes les chances de mon côté : 

  • Une séance d’ostéopathie à j3 de mon cycle pour m’aider à bien vider mon utérus de façon à accueillir et créer un beau nid bien confortable pour mon futur embryon. 
  • Puis une séance d’acupuncture la veille du transfert pour favoriser l’accroche (l’accueil).
  • Une autre le lendemain du transfert pour favoriser la circulation sanguine et dynamiser l’utérus ».

Et c’est à nouveau une réussite : « J’ai accouché à 41sa + 6 de notre petit prince il y a peu de temps qui faisait 4,320 kg et 56 cm ! ».

Aurélie est aujourd’hui maman de 2 magnifiques enfants « grâce à la science et grâce aux médecines douces, j’en suis persuadée ! ».

Marie 39 ans, un petit garçon avec une endométriose douloureuse.  

C’est dans le cadre de son projet bébé que Marie découvre à 35 ans qu’elle souffre d’endométriose. Résultat : une trompe bouchée et une autre en mauvais état.

À cela s’ajoute une réserve ovarienne basse. Direction la FIV.

La FIV 1 ne lui donnera malheureusement aucun embryon. Son endométriose déclenche une forte réaction au traitement de stimulation avec l’apparition d’un kyste ovarien important dont elle se fait opérer.

On lui propose en parallèle de rejoindre un groupe d’accompagnement de femmes souffrant d’endométriose à la clinique de Lyon. C’est un parcours qui propose aux patientes de bénéficier d’aide par le biais de médecines douces et complémentaires en fonction de leurs besoins.

Marie est aiguillée vers de la sexothérapie, de la sophrologie, de la naturopathie et de l’activité physique adaptée.

Elle suit ce parcours pendant plusieurs semaines et apprend à mieux connaître sa pathologie, à prendre soin d’elle et du recul sur ce qu’elle vit.

En parallèle de cet accompagnement, elle fait une 2e FIV :

À nouveau, les traitements de stimulation lui provoquent des effets secondaires importants avec une réaction inflammatoire terrible.

Elle continue à faire ses soins en parallèle : « Cela m’a permis de continuer à creuser des problématiques plus personnelles (de couple, de famille…) ».

Pour Marie, il y a un lien fort entre le soin qu’elle s’est apporté au travers des médecines douces et l’accroche de son 3e embryon lors de cette FIV2.

Son petit garçon est né en 2021 à l’âge de 37 ans.

Aujourd’hui, elle se lance dans un projet de 2e bébé.

Elle a décidé de ne pas se faire accompagner en médecine douce pour cette FIV, car elle garde encore en elle les bienfaits de son accompagnement : « Prendre soin de moi, et être à l’écoute de ce que je vis et de ce que je ressens sont primordiales ». 

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